11 septembre 2006

Service Clientelle SNCF

Madame, Monsieur
J'ai bien reçu le Bon Voyage d'un montant de six euros et quarante centimes que vous avez bien voulu me gratifier à la suite d'une nouvelle mésaventure vécue sur la ligne Granville-Paris le 24 juillet 2006, à savoir un retard de deux heures.
Je vous écris à nouveau pour vous faire part des conditions détestables qui ont été les miennes ainsi que celles de dizaines de voyageurs lors de mon retour sur Paris ce dimanche 10 septembre 2006. Monté à L'Aigle, je n'ai pas trouvé de place tant le train était bondé. Il faut dire que deux rames, un dimanche soir retour de week-end, c'est vite rempli !
A notre arrivée à Dreux, le quai était noir de monde si bien que nous avons fini le voyage jusqu'à Paris comprimés comme dans une boite de sardines.
Ceux qui souhaitaient se rendre aux toilettes devaient abandonner ce voeu bien naturel. De toute manière, même s'ils avaient pu accéder aux latrines, ces pauvres gens auraient dû faire demi-tour puisqu'elles ne fonctionnaient pas.
J'imagine que, depuis que j'écris pour raconter mes déboires avec le service public de la SNCF, vous avez créé un dossier spécial à mon nom. Merci, avant d'y joindre cette nouvelle lettre, d'envisager premièrement une compensation sonnante et trébuchante, secondement un réel effort pour améliorer le confort des passagers sur la ligne Paris-Granville.
Rempli d'espoir, je vous prie de croire, Madame, Monsieur, à l'assurance de ma considération distinguée.

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