Un collègue m'a parlé de La Cinémathèque française où se déroule actuellement une rétrospective du cinéma expressionniste allemand. Grand amateur de Murnau, il a assisté à plusieurs séances en quelques jours. Tiens, me suis-je dit hier, pourquoi ne pas aller y faire un tour ! C'est ainsi que j'ai découvert que La Cinémathèque française se trouve à 30 minutes de marche de chez moi, qu'il est extrêmement facile de s'y rendre, et que son fonds est d'une richesse extraordinaire. Hier, j'ai vu Moby Dick de John Huston et aujourd'hui L'Homme qui rétrécit de Jack Arnold. J'avais eu l'occasion de voir ces deux films à la télévision, il y a bien longtemps, et j'ai vraiment éprouvé une grande joie à les revoir. L'émotion est toujours aussi grande. Lorsque le capitaine Achab, incarnation du mal, soumet son équipage à sa volonté démoniaque pour retrouver et tuer la baleine blanche, ou lorsque le pauvre Scott Carey, interprété par le superbe Grant Williams, rapetisse et doit lutter contre une araignée monstrueuse pour survivre, on tremble ! Heureusement, une rencontre sympathique m'a vite fait renouer avec une réalité plus agréable. C'est l'avantage du cinéma : il nous fait vite passer du rire aux larmes, ou inversement. 12 novembre 2006
Des larmes au rire
Un collègue m'a parlé de La Cinémathèque française où se déroule actuellement une rétrospective du cinéma expressionniste allemand. Grand amateur de Murnau, il a assisté à plusieurs séances en quelques jours. Tiens, me suis-je dit hier, pourquoi ne pas aller y faire un tour ! C'est ainsi que j'ai découvert que La Cinémathèque française se trouve à 30 minutes de marche de chez moi, qu'il est extrêmement facile de s'y rendre, et que son fonds est d'une richesse extraordinaire. Hier, j'ai vu Moby Dick de John Huston et aujourd'hui L'Homme qui rétrécit de Jack Arnold. J'avais eu l'occasion de voir ces deux films à la télévision, il y a bien longtemps, et j'ai vraiment éprouvé une grande joie à les revoir. L'émotion est toujours aussi grande. Lorsque le capitaine Achab, incarnation du mal, soumet son équipage à sa volonté démoniaque pour retrouver et tuer la baleine blanche, ou lorsque le pauvre Scott Carey, interprété par le superbe Grant Williams, rapetisse et doit lutter contre une araignée monstrueuse pour survivre, on tremble ! Heureusement, une rencontre sympathique m'a vite fait renouer avec une réalité plus agréable. C'est l'avantage du cinéma : il nous fait vite passer du rire aux larmes, ou inversement.
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